Réduction des viols par la prostitution

Si le viol a longtemps existé et persiste, c’est parce que les besoins sexuels des gens deviennent de plus en plus violents et de plus en plus malsains.

Les hommes accusent les femmes d’êtres les éléments provocateurs du viol. Ils entendent dire par là que les femmes, par leur manière de s’habiller et/ou de parler, lancent un appel au viol. Ils s’excusent en accusant les femmes d’être les sources aux actes de viol. Si pour eux, le terme viol signifie relation sexuelle que l’on impose à une personne sans avoir obtenu son consentement, on ne peut certainement pas parler de viol si l’incitation revient à la personne sur laquelle on abuse.

Quant aux femmes, elles se déclarent toujours comme victimes dans une situation de viol. Toutefois, il a été prouvé que les femmes sont difficiles à satisfaire et qu’elles cherchent par tous les moyens des partenaires susceptibles d’assouvir leurs besoins. Pour qu’une femme puisse atteindre l’orgasme, il faut que le rapport sexuel soit plus poussé vers la violence sans pour autant agresser la partenaire. C’est souvent la détermination de ce besoin qui pose problème chez de nombreux hommes qui pensent qu’il faut juste une pratique sexuelle violente pour satisfaire les femmes.

Abus sur mineurs

On parle surtout de viol lors des abus sexuels exercés sur des mineurs ou sur des personnes âgées. En effet, ces classes d’âge sont les moins susceptibles à l’incitation ou à l’appel au viol. Chez les personnes adultes, pour qu’une plainte soit reconnue comme viol, il faut avancer beaucoup d’arguments pour obtenir gain de cause. En effet, avec les modes actuelles (vêtements, stupéfiants, pratiques sexuelles,…) il est devenu difficile de juger un cas de viol. Pour cela, il faut prendre en considération plusieurs données telles que des informations familiales, sociales, médicales, ….Ce n’est qu’après études de ces éléments jugés essentiels que l’on puisse reconnaître un cas de viol.

Actuellement, il a été constaté que le nombre de viols connaît une réduction « grâce » à la prolifération de la prostitution. Etant donné que les prostituées sont disposées à exécuter toutes les demandes de leurs clients, il est logique que les acteurs du sexe fort se ruent plutôt vers les professionnels. De plus, les risques de se faire sanctionner pour viol sont minimes avec les professionnels. Et surtout, il n’existe que très peu de prostituées qui se plaignent de viol en effectuant son travail.

C’est d’ailleurs ce dernier point qui constitue une autre forme d’injustice. En effet, en administration, les sanctions sont lourdes lorsqu’une plainte est déclarée avoir eu lieu « dans l’exercice de ses fonctions ». C’est pourquoi, malgré les vices que referme le métier, les viols en prostitutions doivent être mieux considérés.