L’exode sexuel

Un mot, une expression ou une phrase peuvent renfermer des significations différentes et nombreuses. Ces connotations renvoient souvent à des domaines très divers.

Lorsque nous parlons d’exode, le mot nous renvoie à un mouvement de masse d’un point à un autre. Depuis l’Exode en temps de Moïse, ce terme désigne le départ, de tout un peuple, d’Égypte vers la terre promise. Cet exode ne signifie pas seulement déplacement, mais aussi toute une histoire que ce peuple a vécue durant le trajet ou la traversée. De cet exode sont née divers termes indiquant chacun un évènement spécifique si ne parlons que des exodes ruraux et urbains qui désignent des mouvements démographiques de la population.

Le terme « exode sexuel » peut signifier une orientation à la sexualité. C’est comme si on passe de l’enfance à l’adolescence et ainsi de suite. Donc, le terme connote un changement de stade. En effet, il peut arriver que d’us et coutume, les enfants doivent être initiés à la vie sexuelle. On leur apprend ainsi à pratiquer le sexe. On rencontre ce cas dans certains pays africains. Cette situation tend même à des pratiques sexuelles incestueuses lorsque ce sont les parents qui apprennent des pratiques sexuelles à leurs enfants.

L’exode rural

Exode rural peut aussi connoter orientation sexuelle. En effet, il peut invoquer un changement de sexualité. Actuellement, nous parlons beaucoup d’interventions chirurgicales permettant de changer le sexe. Toutefois, le but est même : changement d’orientation sexuelle. En effet, le phénomène est très visible chez les homosexuels qui ne cessent de s’agrandir de jour en jour. Ainsi, on peut aussi qualifier ce changement d’orientation sexuelle d’« exode » puisqu’il concerne un grand nombre d’individus.

Comme bon nombre de pays se trouvent actuellement dans des situations très instables, les gens fuient leur pays d’origine pour aller vers un autre, plus calme et serein. On parle d’exode sexuel lors d’une traversée de réfugiés d’un pays à un autre. Parmi les réfugiés, les femmes et les enfants s’exposent à de multiples dangers si nous ne citons que l’exploitation et/ou le harcèlement sexuel. Pour pouvoir passer d’une frontière à une autre, les gardes des frontières peuvent demander qu’en échange du passage, il y ait des rançons sous forme d’actes sexuels.

De nos jours, ce phénomène fait de nombreuses victimes, aussi, il est temps que les autorités relatives prennent des mesures de façon à abolir cette pratique profiteuse envers les réfugiés. Ou bien est-ce une manière pour apprendre aux immigrants clandestins ou réfugiés de guerre que « la vie est un trafic, et on ne saurait y faire grands profits sans s’exposer à perdre beaucoup » ?